vendredi 28 décembre 2007

Coulaut MENGES : visite du 14 décembre

Coulaut Menges: ça se tient... des 3 expos c'est celle que je prefere
Mariaka Nishi: ;-))
Mariaka Nishi: il me semble aussi
Mariaka Nishi: j'affine quelque chose
Mariaka Nishi: mais j'aime qu'on puisse revoir l'homme quantique après avoir vue celle là
Mariaka Nishi: à la fois rien à voir, et un fil conducteur
Coulaut Menges: chaque fois ... il y a un peu plus de vie ... de ta vie mais pas seulement
Coulaut Menges: une âme ... quelque chose qui flotte autour des textes et des images
Mariaka Nishi: ce que tu perçois Coulaut, c'est l'hologramme sur lequel j'ai travaillé, pendant plusieurs années, et qu'on retrouve dans mon concept de roman multimedia filmé à même la vie
Coulaut Menges: oui c'est vrai mais en même temps ça ne m'a pas choqué dans la mesure où tu es en évolution ... donc ton site tu l'as fait à un moment de ta vie ...
Mariaka Nishi: oui
Coulaut Menges: qui n'est plus la même aujourd'hui
Coulaut Menges: dans cette expo tu fais le lien entre ton passé et cet avenir qui est maintenant le tien
Mariaka Nishi: oui, c'est ça
Mariaka Nishi: un tracé
Mariaka Nishi: un jour je voudrai montrer une chose, dans une ou même plusieurs expos simultanées
Mariaka Nishi: c'est : à quel point nous sommes en fait un rayon
Mariaka Nishi: qui traverse plusieurs couches
Mariaka Nishi: plusieurs dimensions
Mariaka Nishi: c'est nous partout
Mariaka Nishi: dans l'ombre
Mariaka Nishi: dans la lumiere
Mariaka Nishi: c'est nous partout
Mariaka Nishi: je voudrais faire ressentir cette trajectoire
Mariaka Nishi: de notre ombre vers notre lumiere
Coulaut Menges: oui ... la résultante de ce qui sort est faite de tout ce qui a fait notre vie et des couches successives de la pensée
Mariaka Nishi: oui
Mariaka Nishi: c'est très subtil et complexe
Coulaut Menges: on est très subtils et complexes ... mais le savoir c'est déjà quelque chose ; le faire ressentir ... c'en est une autre que seuls les artistes peuvent donner
Mariaka Nishi: il y a plutot : à un endroit donné c'est moi, à cet autre endroit du rayon je suis autre, mais je suis le rayon, dans la simultanéité

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